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C’était mieux après

C’était mieux après

Agnès Desarthe

Du haut de ses dix ans, Vladimir a déjà connu beaucoup d’écoles.

C’est à cause de ses parents qui ne savent pas rester au même endroit. Cette fois, il se retrouve avec de drôles d’élèves : surdoués, précoces, totalement inclassables!

Comment les accepter?

Et comment se faire accepter?

Vladimir imaginer alors un truc génial qui va en étonner plus d’un…

Humour et tendresse pour une ode à la tolérance aussi joyeuse qu’indispensable.

Vladimir arrive dans une classe pleine d’élèves qu’il ne connait pas deux ou trois fois par an.

Dans la classe, ils sont six.

Il y a Loïs, dont il était impossible de savoir si c’était un garçon ou une fille, Catel qui suçait son pouce comme un enfant de maternelle, …

Les petits effectifs, c’est toujours plus agréable, penserez-vous… Mais cinq fous, ce n’est pas forcément mieux que vint-quatre gens normaux.

C’est quoi cette école, ça veut dire quoi EEIP? Ecole pour enfants illogiques à problèmes? Etablissement pour Energumènes Ingérables et Paradoxaux?

Mais si Vladimir ne se fiait pas aux apparences, il réaliserait qu’ils ont beaucoup de choses à lui apprendre.

Lorsqu’ils doivent choisir un thème pour la grande exposition de Noël, Vladimir va avoir une idée.

Il va comprendre qu’une seule phrase prononcée peut tout bouleverser, du jour au lendemain…

Un bel outil qui démontre que tout le monde a sa place à l’école.

Edité par Gallimard Jeunesse, 27 août 2020

9,90 €


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